Images : Détail d’une gravure de mode de 1790 présentant différentes coiffures. Ici il s’agit du « Bon[n]et paysanne ».
Ci-dessous : Lithographie sans doute de Paul Gavarni (1804 – 1866) de la série Musée pour rire. Un jeune romantique écrit à sa bien-aimée son expérience pastorale : « Adieu mon bon ange. Je me hâte de terminer ce récit car voici venir un montagnard qui redescend dans la vallée et qui va porter cette lettre à la poste. Ô mon Amélie que ces montagnards sont beaux ! Si tu voyais quelle fière mine ils ont ! Ces longs cheveux de jais qui tombent sous le béret écarlate, ces vastes poitrines nues, ces ceintures flottantes ! Ces jambes nerveuses ! Et comme ils posent hardiment sur ces âpres rochers leurs sandales romaines !… »
Ci-dessous : Certains petits-maîtres vont beaucoup moins loin et se contentent de promenades au bois de Boulogne, un lieu très à la mode jusqu'au début du XXe siècle. « AU BOIS, - par Comba ». Peut-être s’agit-il de l’artiste Pierre-Paul Comba (1834 – 1872). On remarque le gilet à très gros boutons du petit-maître, sa coiffure en cornes, ses rouflaquettes, son col lâche, ses manches très larges, son pantalon serré et ses chaussures fines à gros noeud.
Ci-dessous : « Le Dandy au Bois ».
Ci-dessous : Carte postale de vers 1910 : « La Mode nouvelle - Les Jupes-Pantalons ». Des mannequins musent au bois de Boulogne.
Ci-dessous : « La Biche au Bois ». Centre d’une assiette du XIXe siècle déjà présentée ici et ici. Les petites-maîtresses que l'on croise dans la nature, en particulier au Bois, ou qui ont de jolies allures, sont appelées des « biches ».
Ci-dessous : « Première apparition d'un gommeux à Fouilly-l'sec ». Centre d’une assiette du XIXe siècle déjà présentée ici.
Ci-dessous : « V'la l'chic des cocottes de Paris ». Centre d’une assiette du XIXe siècle déjà présentée ici.
Ci-dessous : La vie bucolique des petits-maîtres n'est pas toujours idylique : « Allez donc avec vos cocottes de Parisiennes enjoleux ! ». Centre d’une assiette du XIXe siècle déjà présentée ici.