Ci-dessus : Ces deux livres publiés par le journal La Décroissance donnent, pour le premier, une idée du genre de personnes que l’on appelle les décroissants, et pour le second, quels sont les penseurs qui les inspirent.
Voici un peu de fraîcheur et d'air sain dans cette société polluée qui sent très mauvais malgré ses tonnes de parfums chimiques distillés dans notre atmosphère… « Atmosphère, atmosphère… », on a besoin de changer d'atmosphère !
LE DÉCROISSANT représente un des mouvements politiques de ces dernières années qui me semble le plus intéressant. Il allie écologie et anarchie. Il peut donc être qualifié d’extrême gauche bien que ce genre de caractérisation ne veut plus dire grand-chose de nos jours où, officiellement ou non, tout se mélange : des éléments d’extrême droite comme les musulmans radicaux étant assimilés par l’extrême gauche contrôlée de la France insoumise, l’écologie étant étrangement considérée comme de gauche alors qu'elle devrait plutôt être au centre, l’impérialisme mondial utilisant des valeurs gauchistes (antiracisme, écologie, féminisme, etc.) pour s’imposer à travers une novlangue fabriquée par des sociétés de communication, et pour finir, l’épisode de la crise orchestrée autour du covid montrant que la plupart des politiques français de tous bords approuvent les actions fascisantes et les mensonges de Macron et de ses gouvernements (ce que l’on peut nommer « l’extrême centre ») voire les trouvent trop mous.
Les décroissants sont bien plus proches de l'écologie originelle que ne le sont la plupart des écologistes ayant des responsabilités politiques actuellement. Ces derniers devraient se rappeler que l’écologie est un mouvement qui est né contre le nucléaire. D’après moi l’abandon du nucléaire est la pierre d’angle pour la restauration de l’harmonie. Depuis les années 1960 plusieurs mouvements sont nés autour des hippies et des babas en France que l’on peut qualifier d’alternatifs (ce terme étant en usage à partir de cette époque), d’autonomes et de décroissants. Les babas du Larzac étaient contre le nucléaire, pour l’autonomie et l’auto-organisation, pour un retour à la terre et à des valeurs plus riches de simplicité et en dehors de l’empire technologique et financier mondial.
Ci-dessous : La Java des bombes atomiques
(1955) de et par Boris Vian (1920 – 1959)
Le décroissant se place en opposition avec la folie actuelle d’une croissance toute particulière : celle d'un système spécifique qui impose sa vision du monde. La croissance dont il est question n'est pas seulement économique ; elle est avant tout celle d'un système technologique (ce que l'on croit être le progrès) qui s'emballe, devenant de plus en plus fragile dans sa fuite en avant et l'augmentation de sa puissance même (il suffit d'envoyer un avion sur une centrale nucléaire pour provoquer un gigantesque désastre) et 'l'obligeant' à être de plus en plus autoritaire, voire dictatorial, et d'inventer des technologies toujours plus dangereuses, comme l'explique l'intellectuel Bernard Charbonneau (1910 – 1996). Dans la crise orchestrée autour du covid, on constate cela, combien la peur n'est pas seulement organisée par nos dirigeants, mais que ce sont avant tout eux qui sont effrayés par le système même qu'ils alimentent et cette croissance, leur croissance, dont ils sont prisonniers et dont ils savent qu'elle ne peut mener qu'au désastre ou à leur anéantissement.
Le décroissant prône la croissance d’autres valeurs comme l’autonomie, « la simplicité heureuse », la liberté, etc. Comme le libertaire, il est pour un retour à une gestion du ‘bas’ vers le ‘haut’, et non pas le contraire ; exactement l’opposé de ce que l’on constate en ce moment, où on dirige de manière mondiale même la santé des êtres humains, selon une vision unique qui est celle des plus ‘forts’, des plus ‘puissants’. Du reste il me semble que les décroissants représentent le seul organe, que l’on peut qualifier de « politique », qui est à 100 % contre toutes les mesures gouvernementales prises autour du covid, du moins c'est ce que je constate dans la revue La Décroissance. Ce qui est vraiment bien chez le décroissant, c'est qu'il réfléchit à des alternatives. Bien que parfois on peut constater chez certains des relents gauchistes simplistes, il est en général ouvert au dialogue entre gens de bonne volonté.
Finalement, l’écologie devrait avant tout être de l’intelligence. L’étymologie de ce dernier mot est inter legere, savoir relier les choses entre elles (ce que l’on appréhende), comprendre leurs rapports. François Rollin et son interlocutrice en parlent évoquant la bêtise dans cette vidéo. La plupart des philosophes prônent la simplicité, en particulier ceux de l'Antiquité, comme les cyniques, les stoïciens et les épicuriens, tout en cherchant à comprendre le monde. Même Socrate (Ve siècle av. J.-C.) peut être qualifié de décroissant : Il porte un seul manteau comme habit, il préconise la simplicité heureuse, il ne quitte jamais Athènes si ce n'est dans le cadre de ses services militaires, etc. On rapporte que passant dans les marchés et observant ce qui s'y vend, il observe : « Que de choses dont je n'ai pas besoin ! ». La plupart des religions et autres courants spirituels prêchent aussi une vie simple et pourtant riche.
Ci-dessous : La Complainte du progrès
(1955 ) de et par Boris Vian
Le journal La Décroissance est le principal outil d’expression des décroissants. A Paris je ne connais que la librairie Quilombo suivant cette thématique. Plusieurs anarchistes reprochent aux décroissants le terme même de « décroissance » qu'ils trouvent trop négatif, du coup certaines librairies anarchistes ne fouillent que peu le sujet. Pourtant, le véritable titre de cette revue est La décroissance : Le journal de la joie de vivre.
Il est à noter, qu’à ma connaissance, seulement deux autres revues francophones sont entièrement contre les mesures covidistes actuelles : Nexus et Kairos. Je viens de voir une vidéo très intéressante d'un entretien avec le professeur Perronne (voir ici) réalisé par des journalistes de Valeurs Actuelles, mais je n'ai jamais lu cette revue s'affichant comme d'extrême-droite.
Une partie de l’extrême droite et de la droite chrétienne sont aussi contre ces mesures. De même, ils revendiquent certaines formes d’autonomie, en particulier au niveau national (souverainisme). En ce sens, même les royalistes sont des autonomes ; c’est dire à quel point nous sommes sous une gouvernance mondialisée dictatoriale. Personnellement je préfère une royauté éclairée (s'entourant de gens compétents et dévoués au bien-être commun) et parlementaire à une démocratie corrompue, bien que je sois fondamentalement contre le pouvoir pris par d'aucuns sur d'autres. L’IDENTITAIRE revendique son identité culturelle et territoriale. Lui-même se considère comme d’extrême droite. On retrouve cette nécessité d’être selon sa culture et la terre que l’on foule aussi chez le décroissant et l’autonome, qui cependant refusent l’idée d’être gouvernés, que ce soit par un ou des chefs ou des organisations comme une religion. Ils sont libres-penseurs. L’important n’est pas autant la qualité des doctrines que la qualité des gens, quel que soit leur bord. Personnellement, je pense même que les doctrines et autres dogmes ne sont pas nécessaires, voire néfastes, que les actions et les manières de s’organiser doivent se faire à partir de la base et ne pas être dictées, et que si l’ordre est utile, il doit être libre de tout pouvoir. Je pense aussi qu’il est nécessaire de sortir de la notion d’affrontement, surtout quand il s’agit de doctrines. On doit éviter la bêtise, la folie, la méchanceté… d’abord les bannir de soi, et ne pas écouter ceux qui organisent la division et vivent dans une guerre permanente.
LE SURVIVALISTE réagit face à la folie destructrice impérialiste mondiale en se coupant entièrement de celle-ci, avec généralement un retour à la nature, mais pratiquant la chasse, la pêche... étant en cela moins doux que l'esprit hippie ou baba, plutôt attiré par le végétarisme, le végétalisme, voire par des notions comme l'égalité des espèces, etc. Certains survivalistes se préparent juste à une catastrophe qui leur semble proche.
LE PRIMITIVISTE cherche carrément à revenir à l’état le plus primitif et naturel possible. Il refuse l’aliénation sociale, le faisant dans une démarche que l’on peut qualifier parfois d’extrême droite ou au contraire d’extrême gauche (anarcho-primitivisme). Le primitivisme ne semble extrême que parce que notre société l'est. Dans l'Ancien Régime on pensait que dans les premiers temps de l'humanité l'homme vivait en harmonie avec la nature et les dieux. L'être humain évoluait simplement, selon nos critères actuels, mais au milieu de la profusion, et était nanti de richesses que la plupart ne peuvent même pas imaginer de nos jours. Jusqu'au XVIIIe siècle, beaucoup d'oeuvres (pastorales. idylles, églogues... voir cet article) ont rendu hommage à cet âge d'or. Les pré-romantiques et romantiques des XVIIIe et XIXe siècles ont continué cela à travers la figure du bonheur du sauvage ou de la vie naturelle, comme chez Jean-Jacques Rousseau (1712 - 1778), ou dans Paul et Virginie (1788) de Bernardin de Saint-Pierre (1737 - 1814), Atala (1801) de François-René de Chateaubriand (1768 - 1848), etc. Même Voltaire, s'il n'est pas primitiviste, son fameux « Il faut cultiver son jardin » est clairement dans l'idée de décroissance ! Il faut ajouter qu'en France de nombreux mouvements ont prôné la simplicité volontaire, voire la pauvreté, notamment depuis le Moyen Âge des mouvements religieux en France mais aussi dans le monde, le vœu de pauvreté étant une des bases des communautés monacales de toutes les religions. Il y a même eu des mouvements prônant un retour à la nudité du temps d'Adam et Eve, comme chez les Adamites (voir cet article) souhaitant un retour à l’Éden primordial, et dont l'existence serait prouvée dès le second siècle et perdure au Moyen Âge et durant toute l'époque moderne jusqu'à nos jours. Il y a quelques dizaines d'années encore, l'idée de vivre d'amour et d'eau fraîche ne semble pas folle. Aujourd'hui, la plupart des gens sont attachés à leur téléphone portable comme à un boulet !
L’AUTONOME cherche d’abord à se gouverner lui-même. Le terme vient du grec ancien αὐτόνομος, autonomos, c’est-à-dire celui qui se gouverne par ses propres règles, autos signifiant « soi-même » et nomos « loi, règle ». Il ne refuse par l’organisation, mais une libertaire, sans pouvoir externe, ou même sans pouvoir. Depuis toujours les gens cherchent à être autonomes, et à s’organiser entre eux. Les cités grecques et antiques, les villas (villae) romaines, les fermes fortifiées et les domaines seigneuriaux autour d’un château de l’époque médiévale sont autonomes. Par la suite, des utopies se mettent en place. Certaines fonctionnent et même sont copiées. Cependant la plupart des autonomes ne cherchent pas à s’organiser ou du moins cela va généralement pas plus loin qu’une ferme ou de rassemblements passagers, par exemple lors d’une expropriation de terres ou de destructions de la nature…
Ci-dessous : Article du dernier numéro (janvier 2022) de Kairos sur Julian Assange.
Sur internet, de nombreux sites, vidéos et autres nous apprennent comment être autonome ou survivaliste. Une grande quantité de livres très variés sont écrits sur le sujet. Pour ma part, Vivre en plein nature : Le guide de la survie douce par François Couplan (Bordas, 1987) est dans les années 1990 une véritable étape vers le ‘chemin’ de l’autonomie ‘relative’ (car nous vivons tous en symbiose). La nature offre toutes les ressources fondamentales qui nous sont nécessaires, non seulement pour vivre mais aussi pour bien vivre. On y trouve une corne d’abondance de goûts, d’usages et de propriétés (culinaires, médicinales…). Nous sommes des êtres de nature, et l’être humain le restera, car rien de lui et de ce qu’il fait n’est extérieur à elle.
LE GILET JAUNE exige aussi un retour à davantage d’autonomie, mais surtout à des valeurs qui sont censées être fondatrices de la République française, c’est-à-dire autour de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, ainsi que davantage de justice, cette dernière faisant le lien entre les trois notions. Il revendique sa voix de citoyen. Il ne se sent pas en opposition au gouvernement français en général (bien qu’en profonde opposition avec ceux des dernières années, et surtout ceux mis en place par Macron), malgré la diabolisation qu’on en fait, mais comme une partie de celui-ci, suivant en cela les valeurs des révolutions françaises. Il considère le gouvernement actuel, comme les précédents, comme des usurpateurs. Il est possible qu’au départ ce mouvement soit créé de toutes pièces à travers les réseaux sociaux autour de la peur : montée du prix de l’essence ; mais rapidement il s'individualise et se particularise jusqu'à devenir un véritable phénomène positif dans le négationnisme ambiant (culture de l'effacement, en anglais cancel culture, privations de libertés, liquidation des services publics, vente du patrimoine, destruction des espaces naturels, etc.).
Face à la folie actuelle, LE CAPUCHE se retire en lui-même et sa musique (rap, techno…). C’est le seul de ces types qui est un petit-maître : un adolescent ou jeune adulte moderne et revendiquant lui aussi sa liberté, son autonomie. Certains sont du genre ‘racaille’, terme plutôt associé au rap, d’autres du genre ‘techno’, et d'autres du genre ‘rock’ avec le grunge. Le rock, la soul (rap…) et la techno sont les trois grands genres musicaux populaires modernes de la seconde partie du XXe siècle jusqu’à aujourd’hui en Occident, en y ajoutant la pop. La capuche est un élément important de la panoplie des jeunes, surtout dans les années 1990 – 2000, celle-ci protégeant non seulement des regards, mais aussi des intempéries lors de free-parties ou de raves, c’est-à-dire de grande soirées musicales organisées généralement à l’extérieur, souvent en pleine nature ou bien dans des lieux désaffectés, ou bien lors d’expéditions ‘nature’ dans un retour à la nature, ou bien encore dans un nomadisme en particulier présent dans les années 1990 avec les travellers ou crusties (les croûteux) qui vivent dans des caravanes qui parcourent l’Angleterre en troupes. Elle est aussi pratique pour des exercices en extérieur comme la planche à roulettes… De plus, la capuche est une affirmation d’une distanciation face à la mode vestimentaire, comme toujours dans la techno ou bien dans le grunge.
Ci-dessous : Article de La République du Centre Orléans – Loiret du 10 avril 2021. Aujourd’hui il est possible d’organiser des soirées festives illégales. Des articles comme celui-ci, il y en a plusieurs tous les ans dans tous les journaux régionaux. Dans celui-ci (cliquer sur la photographie pour un agrandissement), trois jeunes sont jugés au tribunal correctionnel d’Orléans pour avoir loué un appartement pour organiser une fête un samedi soir. On leur reproche d’avoir demandé un défraiement aux participants pour les frais occasionnés par la location et les boissons, la consommation d’alcool même par des mineurs et un « mépris des règles de sécurité ». La présidente du tribunal invoque la « gravité des faits […] reprochés ». Les fêtards, noceurs et autres noctambules n’ont plus qu’à rester chez eux à regarder internet, se piquer au pfizer et communiquer par téléphone portable avec un masque en ayant pris soin avant de bien désinfecter leurs mains, leurs animaux domestiques s’ils en ont et d’éviter tous les autres êtres humains en tenant bien compte des gestes barrières. S’amuser sans l’accord de la police est devenu aujourd’hui un délit. Bienvenue dans le monde des années 2020 !
Ci-dessous : Dans cet article, provenant de la revue L’Âge de faire n°164 de l’été 2021, on remarque que dans ce genre de fête le danger vient seulement de la police.
Finissons cette liste avec LE NINI, un individu qui, ayant fini ses études, ne trouve pas de travail ou n’en cherche pas, ou bien une jeune personne qui ne cherche ni à étudier ni à travailler. Ce terme vient d’Espagne et est la contraction de ni estudia ni trabaja. Cette domination serait apparue pour la première fois en 1999. Cela est issu en partie du fait que la société occidentale actuelle offre de moins en moins de débouchés, si ce n’est pour des métiers très spécialisés, et que les conditions de travail sont de moins en moins libres, de plus en plus précaires et inhumaines, l’homme devenant un simple outil, comme la machine. Ce terme peut englober toute une partie de la population de plus en plus marginalisée par la politique européenne actuelle et des gouvernements qui imposent des diktats de plus en plus absurdes que les ninis ne peuvent tout simplement pas suivre ou suivent docilement, sans se poser de questions, comme des êtres décérébrés. Cette dénomination est réemployée dans d’autres pays, notamment dans les pays les plus riches d’Asie (Chine, Japon, Corée du Sud…).
Plutôt que des ninis, la crise orchestrée autour du covid crée des sans-voix. Le sans-voix est tout le contraire des genres cités précédemment qui cherchent à prendre leur vie en main plutôt que de se la laisser dicter. C’est un jeune qui porte un masque médical dans la rue, sur la bouche, sous le menton, au bras ou ailleurs d’une manière visible, même quand cela n’est pas obligé. Il suit les directives de manière complètement amorphe. Son avenir est totalement bouché, et il n’est presque plus vivant, seulement par l’intermédiaire de la technologie et en elle. Comme les automobilistes sur les routes, comme les passagers dans les transports… dans un monde devenu dans son ensemble un système technologique dans lequel les êtres humains sont des données, il suit les lignes indiquées par les médias et autres réseaux sociaux comme le font les bits dans les autoroutes de l’informatique, attendant docilement la fin du monde nucléaire qui passera ou par la fin du monde ou par la fin du nucléaire. Franchement, ne serait-il pas temps que l’espèce humaine évolue ? Il n’y a pas d’équilibre dans la terreur (référence à la notion d’équilibre de la terreur d’après François Mitterrand) !
Au sujet du covid, dernièrement une personne de soixante-dix ans m'a dit qu'elle trouvait normale que l'on oblige les gens à être masqués, car elle avait peur de mourir de ce virus. Parce que l'on a peur de mourir, faut-il empêcher les autres de vivre ? Que ceux qui ont peur s'enferment chez eux s'il le souhaitent, se fassent vacciner s'ils le veulent, portent un masque, une combinaison spatiale, voyagent en papomobile... mais qu'ils n'obligent pas les autres à suivre ce qui est de toute évidence irraisonné. N'est-ce pas égoïste ? C'est dans la même logique d'un faux confort que l'on répand les pesticides, détruit les espèces animales et végétales, javellise, déforeste, bétonne, plastifie, paupérise, détruit, etc. Il n'y a pas que cela d'absurde. Par exemple, n'est-il pas insensé de suivre et croire en des directives formulées par des gens qui mentent continuellement et au grand jour, manipulent, se contredisent, censurent et étalent leur incompétence tout le temps ? Le seul critère de comparaison avec le covid est la grippe, et pas du tout d'autres grandes épidémies. Si le premier virus est plus mortel que le second c'est à cause des mesures prises, aberrantes. Ne ressent-on pas de la compassion pour tous ces enfants que l'on maltraite avec les masques, des directives absurdes, etc. ?
Tout apprentissage devrait être celui de la liberté ! le philosophe grec Antisthène (445 – 365 av. J.-C.), à qui on demande quel est le meilleur apprentissage, répond : « désapprendre le mal ». Plus que jamais, nous devons désapprendre le mal.