Sous l’ère chrétienne, nous étions tous FRÈRES et SOEURS… ou du moins presque. Ces termes nous mettaient sur un plan d’égalité. Aux époques plus marxistes, nous sommes devenus des CAMARADES, et à partir de 1986 (projet de loi Devaquet) des COPAINS et des COPINES, termes toujours utilisés par exemple par les gilets jaunes.
Nous sommes tous différents mais aussi tous égaux, tous frères ! Si nous devons nous prendre par la main, cela ne veut pas dire nous soumettre. Rassembler tout le monde sous une même bannière pour que le monde soit en paix dans une pax romana est un mythe. D’abord parce que celle-ci est le fruit d’une conquête militaire qui commence par diviser les peuples avant d’envoyer son armée. Ensuite parce qu’elle ne connaît que l’extension… devenant une prédation et amenant le déséquilibre. Aussi car elle concentre un immense pouvoir sur seulement quelques personnes. Et puis parce qu'elle apporte une uniformisation, donc destructrice de variété. Dès le départ la fondation est pourrie. À la limite elle pourrait s’envisager par une charte de base commune, mais seulement si chaque pays garde son autonomie entière, et si à cette charte ne s'ajoutent pas d'autres éléments par la suite, comme aujourd'hui dans notre 'démocratie' française qui croule sous des lois s’amoncelant toujours davantage. Par exemple convenir d’une fin généralisée dans le monde du nucléaire civil comme militaire, serait une base commune qui ‘imposerait’ naturellement la paix dans le monde, alors que l’équilibre de la terreur du nucléaire est une illusion, un déséquilibre continuel qui ne fait et ne fera que s’amplifier jusqu’à l’explosion… De nos jours on ressent cela à chaque respiration, à moins de faire l’autruche ce que font les gens pour la plupart jusqu’à accepter de s’auto-mutiler… par exemple de mutiler leur liberté. Croire que restreindre des libertés apporte la paix est une aberration. Je ne parle pas bien sûr de ce qui est de l’ordre purement technique assurant par exemple la sécurité et le bien vivre ensemble. Si ces restrictions viennent de gens de pouvoir, elles s’accompagnent toujours d’autres… et ainsi de suite… formant progressivement un fascisme. On est en plein dedans.
De même l'unanimité est un mythe… ou du moins rien de bon. Le Parlement français, surtout ces deux dernières années, en est un exemple. Les parlementaires on accepté presque unanimement l'inacceptable… la folie… L'unanimité est une marque du mal. Le mal existe… il est en beaucoup d'hommes… de même que la bêtise, car il en est le résultat. Une personne qui demande de faire quelque chose de vraiment bon et intelligent ne récoltera jamais l'unanimité, car il sera toujours confronté au mal et à la bêtise… toujours… Un pays où toutes les institutions disent la même chose n'est pas sain. Et quand on entend les mêmes discours, souvent burlesques, la même propagande dans le monde entier, cela est immensément inquiétant et triste. Il faut ajouter que lorsque je parle d’opposition, il ne s'agit pas de celle qui est contrôlée voire fabriquée pour servir de valorisation ou d’autres intérêts de la pensée dominante.
Bien sûr, il est possible que tout soit géré en communauté comme un merveilleux concert… mais cela seulement si les plus compétents ne sont pas mis de côté bien sûr… comme c'est le cas de nos jours… autre signe…
Aujourd’hui sont considérés comme COMPLOTISTES ceux qui réfléchissent, ne prennent rien comme acquis, mais remettent constamment en question les dogmes ; ce qui est indispensable dans un monde qui dépasse tout entendement par nature, mais qui l’appelle continuellement (l’entendement bien sûr). Qu’importe si le mot a été inventé par des détracteurs voire des détraqués. Cela est souvent le cas quand il est question d’avancer positivement, ce que détestent les gens de pouvoir.
Les TRICARDS et TRICARDES sont des personnes interdites de séjour dans un endroit. Pour le dire moins familièrement, ils sont personae non gratae. Non vaccinés, récalcitrants au masque, pudiques avec un sens de l’honneur et de la logique marqués, ils sont considérés comme d’infâmes complotistes.
Une fenêtre toute simple mais très importante est à ouvrir individuellement : Le bien ne vient pas de l’extérieur, mais de soi. De cette manière on devient bon et apporte naturellement du bonheur. Le bien ne peut venir que de soi.