Si tout se passe bien, je sortirai dans quelques jours un nouveau livre sur un sujet différent de celui des petits-maîtres, sur la nature avec aussi une partie présentant des gravures du XVIIIe siècle imprégnées d’un certain esprit… C’est la raison pour laquelle cet article et le précédent sont particulièrement légers… comme le sont les petits-maîtres… comme les gommeux… tous ces merveilleux qui sont pour moi... aussi... une bouffée d’oxygène… tellement superficiels qu’ils en sont aériens !
Dans une page d’un almanach de 1878 (sans doute Grand Almanach Paul Dupont) présentée ci-dessous (cliquer sur la photographie pour accéder au texte), j’ai appris que l’écrivain boulvardier Gustave Claudin (1823 – 1896) avait consacré un passage au gommeux dans son livre Trois roses dans la rue Vivienne (Paris : G. Charpentier, 1877) qui se déroule en partie dans l’univers de la mode de l'époque : modistes de la rue Vivienne, gommeux, Longchamp et le bois de Boulogne… J'en reparlerai !