Le nouvel empire fascisant de la folie

Depuis le début du coronavirus, j’ai mis dans ce blog des liens temporaires sur cette crise créée de toutes pièces, car le thème de mon blog n’est pas vraiment politique… Mais ici, je déroge à sa charte.

À Paris, depuis ce lundi, en pleine canicule, le masque est devenu obligatoire dans certaines rues ! Et il l’est déjà depuis plusieurs jours dans les boutiques et autres lieux ‘clos’.

– Forcer à respirer son propre air à 37°, alors qu’il fait extrêmement chaud, est tout simplement irresponsable.

Dire que le masque sauve des vies est faux.

– Ces mesures arrivent alors que le nombre de morts du coronavirus en France n’a jamais été aussi faible (voir ici).

– Obliger les gens à respirer (pendant des heures pour ceux qui travaillent) leur propre air, à peine renouvelé et peu oxygéné, est bien sûr préjudiciable à la santé physique et mentale.

– Surtout que cela se fait sans discrimination, envers des personnes en bonne santé qui ne risquent pas grand-chose du coronavirus, celui-ci touchant mortellement pour 90 % les personnes de plus de 65 ans (voir ici), et pour le reste, avant tout celles déjà très fragilisées (diabète, maladie pulmonaire, coeur…). Il n’y a même aucune surmortalité en dessous de 50 ans (voir ici).

– L’obligation du port du masque est une atteinte à l’intégrité physique de l’individu. L’article 16-3 du Code civil (« Chapitre II : Du respect du corps humain ») stipule : « Il ne peut être porté atteinte à l'intégrité du corps humain qu'en cas de nécessité médicale pour la personne ou à titre exceptionnel dans l’intérêt thérapeutique d’autrui. Le consentement de l’intéressé doit être recueilli préalablement hors le cas où son état rend nécessaire une intervention thérapeutique à laquelle il n’est pas à même de consentir ». Obliger les gens à porter un masque sans leur consentement est donc en opposition avec la loi française. Et même si cela ne l'était pas, il y a atteinte à l’intégrité physique et privation de liberté et pour certains (comme pour moi) sans consentement.

– La dangerosité du coronavirus s’apparente à celle de la grippe saisonnière qui fait jusqu’à 650 000 morts par an dans le monde (voir ici) ; et si le nombre de morts est plus important pour le covid-19 c'est qu'il n'existe pas de vaccin comme pour la grippe saisonnière et que l'on a interdit ou sciemment déprécié certaines médications efficaces contre ce virus. Il ne bat pas le nombre de morts de la pollution, qui en France est en moyenne de 48 000 morts par an (voir ici) et dans le monde entre 7 et 9 millions de morts chaque année (voir ici, ici et ici), et cela depuis des années, sans qu’aucunes mesures, aussi radicales que les mesures liberticides entreprises pour le coronavirus n’aient été prises… au contraire, on pollue toujours davantage. Pour un pas en avant, à chaque fois on en fait dix en arrière, tout en montrant l'objectif, mais en allant à l'opposé, à reculons.

– La mortalité du covid-19 est liée à la pollution (voir ici). Comme pour la grippe saisonnière, ce virus ne fait que s’ajouter à la fragilisation, qui est la conséquence de la vie moderne, notamment par la pollution.

– L’ambiance créée autour des personnes en fin de vie, est parfaitement inhumaine. Dans les derniers moments, ne pas pouvoir voir les gens qu’on aime ou seulement de loin et avec des masques, et être noyé dans une atmosphère digne de Tchernobyl, apocalyptique, est franchement très dur, non ?

– L’organisation de la santé en France est très mauvaise. Pourquoi n’existe-t-il pas par exemple des hôpitaux ou services créés pour les maladies infectieuses, ceci afin d’offrir le meilleur environnement aux malades et au personnel, au lieu de noyer tout le monde dans la même soupe ?

– La question se pose de la volonté de guérir de cette médecine dirigée mondialement par l’argent et l’esprit commercial, en France aussi (T2A…). Cette médecine préfère des maladies qui durent, voire chroniques, car engrangeant davantage d’argent. On l’a vu pour le SIDA, dont aucun remède pour le guérir entièrement n'a été mis sur le marché, mais seulement des solutions coûteuses pour le patient qui arrêtent la maladie mais ne la suppriment pas. Du reste, tous les laboratoires, notamment français, qui avançaient ‘trop vite’ vers le remède contre la maladie ont été systématiquement malmenés voire menacés.

– Aujourd’hui, même plusieurs médecins qui ont poussé au confinement, disent que celui-ci n’était pas une bonne idée. Au début, la surmortalité a été relativement faible et a commencé avec le confinement (voir ici).

– Avec cet épisode, la médecine mondialisée a montré ses limites, et son autoritarisme. Son sentiment de supériorité est mis à mal, et surtout son efficacité !

– Pourquoi empêcher les autres médecines de s’exprimer ? Pendant le confinement, depuis Paris il était impossible d’aller dans la nature pour cueillir des plantes médicinales et respirer un air plus pur. Pour chaque problème, il n’y a pas une solution mais plusieurs, ce que la médecine officielle refuse d’envisager. Par exemple, pour une maladie, il n’existe pas une seule plante pour la guérir, mais plusieurs, parfois des dizaines ! De même, il n’y a pas une seule manière de se prévenir du coronavirus, mais de nombreuses, et même de le guérir sans aucun doute, même si aucun dialogue sérieux n’est ouvert sur le sujet par les médias officiels (subventionnés).

– En France, pays qui est pourtant celui de la thèse et de l’antithèse, tout dialogue a été systématiquement évité, et une seule thèse propagée, d’une manière que l’on peut appeler « fasciste », falsifiant même parfois la réalité, soit en évitant de la dire, soit en divulguant des fausses informations, comme ici, ici, ici, ici, ici, ici, ici ou ici.

– Le choix des politiques, des médecins et des médias en vue a été de dramatiser, noyant la population sous des informations aux titres effrayants, des informations parfois fausses. Dire la vérité est toujours nécessaire, et affoler n’a jamais rien résolu, de même que faire peur n’est pas un moyen de guérison. Au contraire, la panique produit d’autres pathologies, de même que le confinement et le port du masque obligatoires bien sûr qui sont de véritables problèmes hygiéniques. Mais qui se soucie véritablement de l’hygiène aujourd’hui ? Dans mon quartier, la plupart des nouveaux restaurants se spécialisent dans les hambourgeois comme disent les Québécois (hamburger en anglais) ; chaque être humain en ville est à l’origine d’une quantité hebdomadaire impressionnante de déchets de toutes sortes, en particulier de plastiques ; on pollue, bétonne, goudronne ; on remplit l’air d’ondes électromagnétiques, de nanoparticules, de produits chimiques, jusqu’à notre ciel devenu une véritable poubelle à satellites. Quand je vais me promener dans la forêt en région parisienne, il m’arrive de ne croiser personne pendant une heure ou deux. Tant mieux pour les animaux sauvages qui sont ainsi moins dérangés, mais cela montre à quel point la nature est très éloignée de l’univers de beaucoup de citadins, qui vivent dans une atmosphère vraiment très polluée, et plébiscitent même cette pollution avec leur téléphone portable accroché à leur main, leur voiture à pétrole, etc.

– Au lieu de dépenser l’argent à donner les moyens à la médecine et à la santé publique et surtout les organiser intelligemment, on a préféré ruiner l’économie (voir ici). Cette volonté de ses dirigeants de ruiner la France  est affligeante. On a ruiné l’économie et la santé des concitoyens avec le confinement ; on a continué de le faire avec le masque obligatoire dans les lieux 'fermés', et dès que les choses se remettent en place, on y ajoute de nouvelles mesures liberticides comme le port du masque obligatoire dans les rues qui reprenaient une vie normale. C'est de la politique au jour le jour, destructrice et liberticide. Même la médecine officielle est devenue liberticide.

– Le ‘combat’ contre le covid-19, est dans le prolongement de celui que l’homme a engagé depuis longtemps contre la nature. Il accepte celle-ci seulement si elle est encadrée, et se parque dans le béton, le bitume, l’acier, le plastique et des rêves dématérialisés. On javellise et désinfecte à outrance par peur du naturel. Pourtant, notre corps lui-même est rempli de ces choses que l’on honnit : de l’urine, des excréments, des bactéries innombrables sans lesquelles il ne pourrait vivre, et une infinité d’autres organismes vivants. Nous ne pouvons vivre sans la nature, et l’infinité des êtres qui la constituent. Ce n’est pas en désinfectant le monde entier que l’on en fera un paradis… tout au contraire…

– Une grande partie des êtres humains, en tout cas celle que l’on entend et voit le plus, semble avoir perdu son sens commun. On combat un virus relativement anodin, comme s’il s’agissait de la peste, ou de la grippe espagnole qui a fait en 1918 – 1919 des millions de morts dans le monde.

– Il est vraiment triste de voir à quel point une grande partie de la population se comporte comme des moutons, voire des collabos.

– Le coranavirus nous montre ce que peut être une hystérie collective, au niveau mondial, et permet d’imaginer ce qu’elle pourrait être face à un danger beaucoup plus grand. Il s’agit d’une véritable vague dans laquelle presque tout un chacun est emporté. Plus on se débat, plus on s’y noie.

– Tout le monde a été et est sauvagement parqué, dans le confinement, des pratiques obligatoires comme le port du masque, les EHPAD, les hôpitaux, écoles et autres services publics désorganisés, etc. Aujourd’hui, dans des villes comme Paris, les policiers patrouillent pour obliger les gens à mettre un masque dans certaines rues… On dirait que l’on a mis une muselière aux gens. On les traite comme des chiens, et beaucoup en redemandent, dans une société complètement déshumanisée, où le monde entier est devenu une immense foire sado-maso, un hôpital à l’échelle planétaire avec ses rites de soumission, de domination, de ligotage, d’humiliation, de discipline, etc., en faisant en sorte qu’on le veuille et en redemande, avec pour principal outil la peur ! Du pur sado-masochisme : l’enfer ! Un enfer que l’on donne en pâture aux jeunes, en leur montrant comme avenir, et aux personnes âgées qui le vivent entourées d’une déshumanisation extrême, ainsi qu’aux autres que l’on prive de toute dignité humaine, même de respirer.

– Cet épisode est exemplaire aussi car, pour la première fois peut-être, on s’appuie ouvertement sur la manière d’agir d’une dictature (la République populaire de Chine) pour en faire une façon de fonctionner mondiale, qui consiste tout bonnement en la suppression des libertés.

– Pour une maladie ne touchant dramatiquement qu’une tranche spécifique de la population on en a profité pour supprimer les libertés de tous.

– Pendant ce temps, on ne fait rien contre le nucléaire, le bétonnage de la France, la surpopulation, la pollution, etc. Au contraire, on les encourage. Par exemple, Mme le maire de Paris, qui impose le masque, est pour la création du Grand Paris !

– Le confinement et le port du masque obligatoires nous montrent que l’on peut entreprendre des mesures contre la pollution et les autres vrais problèmes de la société… mais là on nous fait pourtant croire que rien n’est vraiment possible.

– Un pays, comme la Suède, qui n’a ni confiné, ni obligé le port du masque, non seulement n’a pas plus de morts par habitant que d’autres pays (voir ici) mais s’en sort beaucoup mieux économiquement (voir ici).

– Et comme d’habitude, ceux qui ne sont pas d’accord avec la politique actuelle sont considérés comme des extrémistes, comme ici ou des adeptes des théories du complot, comme ici. De nos jours, les médias officiels véhiculent largement de la désinformation (des informations fausses ou manipulées). En dévoilant ces ficelles, l'épisode du coronavirus est en cela exemplaire.

– Si la situation est grave, ce n’est pas à cause du coronavirus, mais des dirigeants actuels, et de la mentalité de collabo d’une grande frange de la population mondiale qui veut continuer dans la même direction.

– Des solutions existent pour arrêter la folie mondialisée et fascisante actuelle. La première, d’où tout découle, et qui était la première revendication des écologistes (le mouvement écologiste étant né sur cette revendication), est l’arrêt du nucléaire, quelle que soit sa forme. Si on arrive à faire cela, les autres mesures raisonnables en découleront naturellement.

– Il faut aussi aider les citoyens à trouver leur indépendance et leur liberté, non pas faire le contraire. Nous sommes dans ce que Gille Deleuze appelait de manière visionnaire, en 1995, une « société de contrôle » (voir ici et ici). Aujourd’hui, le coronavirus nous montre que nous sommes en plein dedans !

– Est-ce que les ondes électromagnétiques nous rendent moins intelligents, voire fous ? C’est possible. Ce qui est sûr, c’est que suivre aveuglément, sans réfléchir, est un acte d’égoïsme. Agir de manière irraisonnée, voire de manière hystérique, en suivant systématiquement les puissants sans réfléchir, est de l'égoïsme.

– Arrêtons de nous diriger vers toujours plus de déshumanisation, de détruire, polluer, en suivant nos pulsions, nos émotions. Réfléchissons, ouvrons-les-yeux… tout simplement.

Cette crise qui, je le répète, est créée de toutes pièces, n'est pas l'expression d'une conspiration planétaire, mais de multiples petits et grands égoïsmes qui font que cette planète devient invivable.

Le docteur Jean-François Toussaint l'a dit lui-même, ce lundi 10 août 2020 (entretien visible ici). : « […] On reste sur les croyances du 12 mars. Donc on est dans un monde qui est de plus en plus un monde de croyances, de moins en moins scientifique, qui est de plus en plus irrationnel. […] Si la peur est un système de défense, entretenir la peur n’est pas légitime pour agir de façon adaptée. […] Ce sont sur les décès que l’on voit et que l’on comprend l’importance d’une pandémie. […] Nous n’avons absolument aucun élément scientifiquement démontré sur l’utilité par exemple des masques en extérieur en fin de phase pandémique […] Actuellement le danger n’est plus présent et on continue à instaurer une peur irraisonnée. […] Dans un comité qui n’est pas un conseil scientifique mais un comité politico-sanitaire on doit changer les règles qui s’appliquent pour la représentation des populations qui vont être également impactées par les effets secondaires des décisions qui ont été prises. […] Ces effets secondaires, cette deuxième mi-temps que l’on va avoir […] elle sera essentiellement sociale, économique et sanitaire. […] Plus de 60 000 enfants dans le monde sont déjà décédés des causes du confinement général, d’un confinement aveugle […] Au niveau des politiques, les arguments n’y sont pas. […] qui est le bouc-émissaire actuellement : la jeunesse […] C’est un suicide collectif généré par le Conseil scientifique d’effondrer une économie dont les jeunes vont payer le prix le plus important dans les années qui viennent. »

Ici le médecin-chercheur Philippe Parola, ne défend pas le masque obligatoire en extérieur et insiste sur le fait qu'il faut rasséréner, surtout qu'en ce moment les données sur le coronavirus en France et en Europe sont rassurantes.

D’autres médecins et chercheurs sont contre le port du masque en extérieur, ainsi que des journalistes, etc. Voir ces articles :
- Obliger au port du masque alors que l’épidémie disparaît est “une aberration scientifique et médicale” selon le Dr Pascal Sacré
- Le masque en plein air est-il vraiment utile ?
- Port du masque : le libre choix de chacun doit être respecté !
- Non au port du masque obligatoire !
- Non au port du masque obligatoire en Belgique !
- Pétition : Non au port obligatoire du masque en France

- Pétition : Non au port obligatoire du masque – Oui à la responsabilité de chacun

 

Toutes les illustrations de cet article sont des créations personnelles faites à partir d’images libres de droits, sauf pour celle des moutons ci-dessous, réalisée à partir d’un dessin célèbre de François Kresz (voir ici). Cela me permet de faire le lien avec les petits-maîtres, les babas en faisant parfois partie, et beaucoup de minets étant devenus babas dans les années 1968 – 1975.

 
ADDENDA
 
Ci-dessous, article du 17 août 2020. Nous sommes en pleine folie fascisante.

Certaines plantes pourraient avoir des effets contre le Covid-19, mais très peu d'essais officiels ont été entrepris jusqu’à présent, la médecine ‘officielle’ étant enfermée dans ses croyances en la toute puissance de la médecine de Pasteur, qui a eu bien sûr son efficacité et qui a fait avancer la médecine, mais qui aujourd’hui ne peut être vue de la même manière, étant donné que l’on est dans un monde que l’on pasteurise entièrement : où l’on tue la vie.

Ci-dessous un article de l’Inserm sur l’armoise annuelle (Artemisia annua L.). Cet article, que l’on peut lire en cliquant sur l’image, se termine ainsi : « La plante ouvre donc des pistes de recherche intéressantes, mais en l’absence de données robustes ou d’études à plus long terme avec des doses contrôlées d’extraits d’Artemisia annua, elle ne constitue pas pour le moment un traitement contre le Covid-19. Des essais cliniques très rigoureux, menés de manière pluridisciplinaire avec une méthodologie solide sont donc plus que jamais nécessaires pour arriver à une conclusion dans cet épineux débat. » D’autres articles ont été écrits sur ce sujet , comme ici et ici. Bien sûr, l’Académie de médecine française déconseille cette plante (voir ici), qui n’a pourtant aucun effet secondaire sauf, d'après eux, d'atténuer, à hautes doses, les effets de cette plante contre le paludisme.

Les médecins et les politiques alarmistes se basent sur les nombres de cas de personnes contaminées, et non pas sur les cas graves et les décès. C’est ainsi que l’augmentation de ces derniers a commencé avec le confinement. Et alors que dernièrement le nombre de cas augmentait et en même temps les hospitalisations baissaient et les décès disparaissaient (les chiffres des décès toutes pathologies confondues étant même plus bas qu’en 2019 et 2018 comme le montrent ici les chiffres au 20 juillet en Île-de-France), et que nous allions gentiment vers une immunité collective, le choix a été fait d’imposer massivement le masque, et cela dès le début de la canicule.

Il faut ajouter que porter un masque dans la rue ne sert à rien, notamment parce qu'on le touche. Son port devient donc une obligation sans fondement, un abus de pouvoir !

Voici ce que le 31 mars 2020 le philosophe Michaël Fœssel disait déjà dans un entretien intitulé « Michaël Fœssel : “Les politiques ont la tentation de faire de la crise un champ d’expérimentation autoritaire” » (cliquer sur l'image ci-dessous pour accéder à cet entretien, ou ici) : |« […] regardons avec quelle aisance et quelle satisfaction les leaders des démocraties se voient eux-mêmes en chefs de guerre et manifestent leur goût du contrôle des populations, prévient le philosophe Michaël Fœssel. […] Maintenant, si le caractère dramatique de la situation et la peur qu’elle suscite doivent signifier – comme on en perçoit déjà les signes – qu’on va prendre des mesures sécuritaires et biosécuritaires renforcées, si l’on se met à nous vanter le modèle chinois comme supérieur à celui des démocraties, si cette période de quarantaine sert à mettre en place des outils de surveillance numérique, de zonage et de contrôle des populations dont l’usage se pérennise, l’après sera peut-être même pire que le pendant. Nous voilà ramenés à une problématique philosophique assez classique : est-ce que l’exceptionnel doit devenir normatif ? Comme nous vivons une crise de nature virologique, elle ouvre de surcroît une ère du soupçon. L’autre ne représente-t-il pour moi qu’une menace ? Universalisées, de telles suspicions empêchent de faire monde. Jusqu’où va-t-on aller ? Enverra-t-on des drones surveiller les rues, comme dans les mégapoles chinoises ? […] Les mesures adoptées par la France […] demeurent scandaleuses. Quelle que soit leur nécessité circonstancielle, elles sont inadmissibles en regard de ce qu’est un État de droit. Cela mérite d’être rappelé, car il existe une tentation de faire de la crise un champ d’expérimentation. […] Du reste, la manière dont l’exécutif a qualifié d’emblée cette lutte contre une maladie de « guerre », avec tous les aspects juridiques que cela recouvre, montre qu’en fait, aussi inédit et irreprésentable soit l’événement, il intervient dans un contexte où son interprétation dominante risque d’être de type autoritaire. […] À la suite de leurs prédécesseurs, ils [Emmanuel Macron et Édouard Philippe] n’ont pas seulement une rhétorique, mais aussi une pratique de type autoritaire. On pouvait déjà avoir des doutes sur l’expression de « guerre contre le terrorisme » ; cette fois-ci, il y a lieu d’être encore plus prudent. La logique épidémiologique veut que le virus soit invisible, mais qu’il prenne place dans des corps qui sont, eux, très visibles. On ne confine pas le virus, on confine des corps, parce que ces corps sont supposés porteurs du virus. Je ne critique pas cette stratégie comme telle ; je relève simplement qu’elle consiste à faire comme si nous étions tous malades, et donc potentiellement contagieux. Nous voici donc sur une crête. Nous admettons provisoirement que l’État postule que nous sommes tous des menaces, pour nous-mêmes et pour les autres. Mais soyons vigilants à ne pas laisser s’installer cet a priori de la suspicion au-delà de la crise sanitaire. La médecine est une lutte pour la vie. Contrairement à la guerre, elle n’appuie pas ses victoires sur la mort. […] Le confinement est même une création de nouvelles frontières aux bornes de l’intime. […] De même qu’il y aura des morts du Covid-19, il y aura des morts du confinement. […] »

Autres articles, etc. :

Covid-19 : Des philosophes recadrent la panique générée par le virus.

Un couple de soignants nous explique leur vision du port du masque.

- Les masques, et après ? Lire et relire « La société du risque » d’Ulrich Beck.

Tous ces gens bâillonnés, ne vous font-ils penser à rien ? On bâillonne dans les écoles, les entreprises ; on ne peut plus acheter de la nourriture sans être bâillonné… En même temps, de plus en plus de gens travaillent pour de moins en moins d’argent, souvent même gratuitement (stages, internet…) ou pour des rémunérations de misère, comme c’est souvent le cas avec Internet et toutes les chaînes de restauration, les groupes de grande distribution, etc., alors que certaines de ces sociétés 'valent' des centaines de milliards et que les banques les plus puissantes font des bénéfices qui se chiffrent en dizaines de milliards de dollars, euros… chaque année, certaines banques centrales ‘jouant’ avec les dettes et des billions (mille milliards), donc qui ‘jouent’ avec un système de soumission. On vend les données des individus… On manipule largement. On surveille à outrance, et peut pister une personne jusqu’à savoir ce qu’elle fait chez elle, et bien sûr au-dehors. On utilise la peur, la force et les privations de liberté. Tout cela n’est-ce pas tout simplement de l’ESCLAVAGE MODERNE ?

Qui tacet consentire videtur.
Qui ne dit rien consent.

Les professionnels de santé qui savent que nous sommes dans une folie sanitaire, et qui ne disent rien, collaborent à cette aberration !

On voit comment Internet et les médias en général, réussissent à ne faire passer qu’un seul discours, le reste étant systématiquement mis de côté ou ridiculisé. Sur un fait, une seule opinion est véhiculée, et les contradicteurs sont largement marginalisés, voire le plus souvent occultés. Par exemple sur Google, si on fait des recherches de sites sérieux contre le port du masque obligatoire, on ne trouve quasiment rien, ou le contraire et des choses farfelues. C’est la pensée unique !

En bas de cet article, on peut visionner une vidéo très intéressant du Dr Laurent Toubiana, datant du 22 août 2020, où celui-ci dit par exemple « L’épidémie est terminée, les cas que l’on voit sont des cas asymptomatiques, c’est-à-dire des cas détectés parce que nous avons à notre disposition un système de détection des gens porteurs d’un virus, mais ces gens ne sont pas malades. Nous sommes face à une épidémie sans malades ! […] Je n’ai pas d’opinion. Je suis un scientifique qui tente de rassurer une population. Nous n’avons pas une épidémie infectieuse ; nous avons une épidémie d’angoisse, si vous voulez, et la population est à genoux à cause de cela, l’économie aussi. Que des gens viennent nous culpabiliser parce que l’on dit autre chose qu’eux, cela est insupportable, surtout en politique. […] Il y a plus [davantage] de cas porteurs du covine, d’accord… Y a-t-il plus de malades ? Y-a-t-il plus de morts ? Non ! J’aimerais revenir sur un point qui commence à me choquer énormément, personnellement : À plusieurs reprises des personnes ont voulu m’intimider pour me dire : Non, vous ne devez pas parler. C’est tout à votre honneur de me laisser parler, et je vous en remercie. C’est l’honneur aussi de la France d’avoir une multiplicité de points de vue. Qu’on [ne] vienne [pas] me dire que j’apporte de la confusion, alors qu’il y a eu pendant six mois une confusion totale, des atermoiements dans tous les sens. Tout le monde s’est trompé. C’est insupportable d’entendre ça. Je vous remercie encore. Personnellement, ce que j’ai écrit au début de la crise reste toujours valable. Il faudra répondre à cette question : Pourquoi les gens qui se trompent tout le temps on continue à les entendre ; ils ne sont pas discrédités ; alors que ceux qui ont donné les bons chiffres, eux, on les critique. Je prends beaucoup de risques en faisant cela, parce que je n’ai rien à gagner. Je cherche simplement à donner des informations positives : Je suis chercheur, je n’ai pas d’opinion, je donne juste ce que je vois, et ce que je vois est incohérent avec ce qui est mis en place, c’est tout. […] L’exemple typique d’un pays qui n’a pas suivi le confinement, c’est la Suède. Aujourd’hui, on ne parle plus du tout de la Suède. Savez-vous pourquoi ? Simplement parce que la Suède a eu la même courbe épidémique que tous les autres pays. C’est à dire que globalement, confinement ou pas confinement, on a les mêmes résultats. […] »

Un titre d'article amusant :

Ici une vidéo, du 2 juillet 2020, du professeur Perronne qui dit notamment : « […] On a démantelé toutes les structures qui étaient capables de gérer l’urgence sanitaire, pour des raisons d’économie, soi-disant de séparation des pouvoirs et des experts […] Le ministre, et j’en veux beaucoup au ministre de la Santé, aurait dû vérifier, avant de s’appuyer sur ces experts, que ce soit le Conseil scientifique, que ce soit le Conseil de la Santé publique, où beaucoup ont des conflits d’intérêt majeurs avec des laboratoires […] ils auraient dû vérifier et les exclure de ces commissions. » Il donne ensuite des exemples surprenants, montrant que l’on aurait pu éviter des milliers de morts en France avec l’hydroxyde chloroquine ! Il poursuit : « […] 99 % des médecins sont remarquables en France ; mais il y a une petite élite, qui travaille main dans la main avec l’industrie, qui sont des leaders d’opinion, qui ont manipulé un peu tout le monde. C’est cela que je dénonce ! Je ne peux pas accepter que l’on joue avec la santé des Français ! »

Cet épisode de crise orchestrée est très révélateur. Il dévoile : - la soumission des décideurs qui nous gouvernent (dans les deux assemblées, il y a eu le même discours chez tous les élus) et des médias, en France et dans le monde, - la manipulation dont les citoyens sont quotidiennement les sujets, - et la puissance d’un pouvoir mondialisé centré sur le profit, semble-t-il, car franchement là toute cette folie ne profitera à personne, si ce n'est à ceux qui n'avaient pas encore compris...

- Covid-19, ingénierie sociale, manipulations… Le point avec Lucien Cerise.

- Dictature sanitaire à deux vitesses. Les supporteurs du PSG se regroupent sans contrôle à Paris, 27 verbalisations à Quimper... et plusieurs manifestants contre le port du masque à Paris ont été verbalisés ! Porter un masque = se taire ! Pas de choix ! C'est cela le fascisme !

- Éric St-Germain explique le masque aux néophytes.

- Covid 19 : Le Docteur Jean-Michel CRABBÉ adresse une seconde lettre au Conseil de l’Ordre .

- Pr. Perronne - "Un grand délire instrumentalisé par Big Pharma".

- La généticienne Alexandra Henrion Caude vous dit tout. Dans cet entretien datant du 31 juillet ou du 1er août, Alexandra Henrion-Caude, directrice de recherche en génétique, donne un compte-rendu très clair de la situation sur les connaissances sur ce coronavirus, ainsi que sur la situation sanitaire actuelle et aussi sur la situation vaccinale ! Toute la vidéo est très intéressante, mais en voici quelques extraits : « […] Je ne comprends pas pourquoi personne n’en a parlé non plus, que finalement les décès dans la grande majorité [sont des personnes âgées] […] Dans la raréfaction de soins qu’ils [les personnes âgées] ont reçus, notamment au niveau affectif, et on sait combien l’affectif est important pour les défenses immunitaires, […] Vous parliez du système immunitaire, et c’est à mon avis un point absolument central de cet ‘crise’ covid. C’est quoi d’être en bonne santé, c’est d’avoir la capacité de faire face à, à peu près, tous virus et bactéries pathogènes. Nous avons le système de défense qui nous a été donné pour le[s] combattre. Ce système immunitaire est un capital-santé qui nous est propre et qui s’entretient, en faisant du sport, en évitant d’être confiné pendant deux mois, en ayant une bonne aération, une bonne oxygénation, c’est-à-dire en évitant de mettre des masques. En ayant une bonne alimentation, c’est-à-dire en ayant la liberté d’acheter tout ce dont on a besoin, là il le faut et avoir la diversité alimentaire qu’il nous faut. […] Une autre chose qui diminue fortement le système immunitaire : le stress. […] Il ne faut pas faire l’erreur de croire que nous somme encore [aujourd’hui] dans une épidémie. […] Il y a des scientifiques qui disent qu’il va y avoir une deuxième vague. J’aimerais bien les confronter sur un plateau, parce qu’une deuxième vague qui suit une première vague d’une épidémie qui a la forme d’une cloche, et qui fait une deuxième cloche dans la foulée, personnellement, je n’en ai pas rencontrée, j’ai cherché, mais je n’en connais pas ! […] Il peut y avoir une deuxième courbe mais bien moins importante […] Lorsque l’on fait un vaccin, il faut le faire sur un organisme sain, en bonne santé. De la même façon, quand vous êtes vacciné, il est important que vous ne rencontriez pas un autre virus dans la foulée, parce que vous avez ce même phénomène qui peut survenir. […] Lorsque l’on regarde ces études, on doit au minimum discuter sans plus attendre de l’indication qu’il y a à vacciner notre population âgée cette année […] parce que sinon on a une chance, d’après ces études, d’augmenter une fois et demie à deux fois la possibilité d’avoir certaines affections respiratoires […] on doit en discuter […] le vaccin contre le coronavirus même, c’est une aberration de développer un vaccin sans connaître aucun des effets secondaires potentiels […] il y en a toujours […] Vacciner quelqu’un qui a eu le covid sans le savoir, c’est à nouveau le mettre en danger pour les mêmes questions d’interférences virales notamment […] Le cours de la bourse d’un laboratoire qui s’appelle Moderna est en train d’exploser, et là c’est très très grave, car c’est un vaccin dont le mécanisme repose sur un flux d’informations qui ne peuvent pas ne pas avoir des effets généraux […] aussi bien sur vos gènes (votre ADN) que vos protéines (les fameux acteurs de tout ce que nous sommes) [...] C'est obligatoire, ces techniques de vaccinations vont avoir des répercussions sur ce que vous êtes. [...] »

Ce que dit ce professeur sur les conséquences des vaccins m’a fait poser cette question : Est-ce que les vaccinations contre la grippe saisonnière ont favorisé certaines infections graves lors de l’épidémie du coronavirus ? On sait que dans les EHPAD on vaccine massivement, et que les personnes âgées et fragiles sont les premières cibles de ces vaccinations contre la grippe saisonnière.

Tous ces exemples nous montrent combien il est important de ne pas laisser notre société dans les mains uniquement du privé et du profit : que la démocratie et les services publics doivent reprendre leurs droits. Un service médical au pouvoir presque uniquement du privé aboutit à des aberrations. Au moins 50 % du système français devrait être entièrement public, de même pour la recherche, afin que l’indépendance, l’intelligence (dont l’altruisme) et la démocratie règnent, et non pas le profit, la peur et l’égoïsme.

- Coronavirus: un délire collectif ?. Je ne sais pas ce que vaut ce site sur la mondialisation, mais l'article est intéressant. Personnellement, je pense qu’il faut ‘sortir’ de la mondialisation. Je regarde avant tout ce qui se passe dans ma rue… les gens tous masqués, l’obligation de se masquer, mes privations de libertés… et réagis par rapport à cela seulement. Je ne veux pas changer le monde : c’est un peu la même chose que de vouloir dominer le monde. J'essaie de changer mes mauvaises habitudes, et de ne pas me laisser dominer ou exploiter… enfin pas trop… Je cherche la collaboration, l’échange, l’amitié, pas l’exploitation de moi ou des autres. C’est parce que l’État, le Gouvernement, la mairie de Paris et consorts ont tous les yeux rivés sur le monde, qu’ils ont imité la folie fasciste actuelle… et même ils en ont rajouté. Je ne veux pas imiter les gens qui ont un pied ici et un pied là-bas, et qui consomment et consument le monde. J’ai les deux pieds là où je marche et ma tête aussi… enfin tout quoi !

- - - - - - - -

En Belgique : « Une soixantaine de personnalités académiques et de la société civile demandent urgemment de nouveaux groupes de travail pour proposer des mesures scientifiquement prouvées efficaces, proportionnées, sans effets collatéraux néfastes et dans le respect de la démocratie. » Voir ici.

L'obscurantisme que l'on nous sert aujourd'hui est hallucinant, et tellement gros que cela m'étonne de voir tout ce monde porter le masque dans les rues... même sous la contrainte.

Dans les médias officiels, la désinformation fuse. Les fausses, sciemment manipulées ou occultées informations coulent à flot. Un exemple est celles concernant les effets de l’hydrochloroquine. Sur ce sujet, la confusion est constamment entretenue. Le dernier exemple concerne la plainte de la Société de pathologie infectieuse devant l’Ordre des médecins contre le professeur Raoult. Certains médias ont fait en sorte de faire croire que c’était l’Ordre des médecins, lui-même, qui portait plainte, comme dans le titre de cet article : Plainte contre le professeur Raoult : que lui reproche d'Ordre des médecins ? ou cet autre titre : Didier Raoult visé par une plainte de l’Ordre des médecins.

Dans Changeons de voie, Les leçons du coronavirus, Edgar Morin et Sabah Abouessalam soulignent : - la désinformation autour de cette épidémie, - les relations d’intérêts de certains professionnels médicaux avec l’industrie pharmaceutique et les lobbies et de puissants intérêts personnels ou financiers en jeu, - l’hyper-spécialisation au détriment d’une médecine systémique, - la suprématie des spécialistes sur les généralistes, avec des médecins généralistes privés du droit de prescrire certains remèdes, - la compartimentation des savoirs (tout produit n'étant pas élaboré par l’industrie pharmaceutique étant dédaigné), - mandarinats, - etc.

- Des tests pour nous éclairer … ou nous aveugler, par le docteur Eric Menat, 4 août.

- Collectif de médecins : Covid-19 laissons les médecins prescrire.

- Port du masque et pathologies cutanées.

- « Covid-19: nous ne voulons plus être gouvernés par la peur » : la tribune de chercheurs et de médecins.

- Professeur Luc Montagnier - "on est dans un monde de fous, un monde de fous".

Pour conclure : Dans des perspectives de profits marchands et politiques ou par lâcheté ou par bêtise, on a ruiné l'économie, soumis la population, caché, manipulé ou occulté la réalité, entretenu continuellement une peur non justifiée, déshumanisé la médecine et les rapports sociaux et largement augmenté la mortalité en interdisant et discréditant certains remèdes. Ce qui s'est passé est très grave.

Un grand merci aux professionnels de santé qui se sont exprimés avec objectivité et honnêteté, comme :  Jean-François Toussaint, Philippe Parola, Laurent Toubiana, Christian Perronne, Alexandra Herion Caude, Luc Montagnier...

Merveilleuses & merveilleux