Ce lundi, deux articles au lieu d’un seul, celui-ci, ‘sérieux’, et un autre ‘léger’.
« Sérieux », c'est vite dit ; je dirais plutôt que cet article est un peu lourd, car rabâchant des choses somme toute évidentes. Je le compose parce que : qui ne dit rien consent (qui tacet consentire videtur). Je le fais pour moi-même. Comme l’écrit Montaigne dans la préface de ses Essais : « Ainsi, lecteur, je suis moi-même la matière de mon livre [ici de cet article] : ce n’est pas raison que tu emploies ton loisir en un sujet si frivole et si vain ; adieu donc. »
Certains philosophes, comme les Pythagoriciens, accordent une grande importance aux nombres, et davantage encore au langage. Cela participe du rythme : Toutes les vies sont engagées dans le mouvement. Il suffit de voir des armées se déplacer pour constater comment, à travers les rythmes on peut manipuler des foules. La vie moderne nous noie dans les siens, portés par une technologie soumise à quelques mastodontes qui distillent leur propagande pernicieuse qui asphyxie le monde. La France est devenue le fer de lance de cette imbécillité nuisible, et s’affiche guillerettement comme devenue un des pays les plus stupides au monde ! Nous sommes gouvernés par des sortes de Frankenstein, avec à la tête un chef de Gouvernement moitié maire de village (il en a la stature mais certainement pas celle d’un dirigeant national) et moitié Mussolini, et un chef d’État moitié liquidateur, moitié Pol Pot. Ceux qui les suivent sont aussi abjects.
La crise autour du covid est orchestrée.
Cette maladie n’était, au départ, pas plus dangereuse qu’une grippe :
– On a volontairement gonflé les chiffres des morts de cette maladie en donnant une prime aux médecins la diagnostiquant, et en classant comme morts du covid des personnes ayant une autre maladie étant la véritable cause du décès.
– On a empêché la maladie de s’éteindre d’elle-même en confinant, en prônant l’aseptisation personnelle et de notre entourage et autres pratiques nauséabondes.
– On a interdit aux médecins de prescrire selon leur propre jugement ; on a interdit certains médicaments efficaces ; on n’a jamais prôné, voire occulté, les soins préventifs, etc.
– Les ‘vaccins’, (je mets entre guillemets car ceux promulgués en France n’en sont pas) ont été à l’origine des variants (voir cette vidéo du professeur Montagnier) et sont la cause de nombreux décès, eux non diagnostiqués comme tels.
En ce moment, on tente d’obliger les gens à se faire vacciner alors que le chiffre des morts est un des plus bas depuis mars 2020 (voir ci-dessous). Toutes les grandes mesures liberticides prises par le gouvernement français l’ont été à des moments de calme, et ont été suivies d’une remontée des décès.
Les gouvernants, en France particulièrement, manipulent et mentent constamment, déversant chaque jour de nouvelles horreurs. Nous sommes dans un moment de censures, mensonges et manipulations intenses que l’on ne rencontre que dans des régimes autoritaires… dictatoriaux. Tout cela devrait nous réveiller, non ?
N’oublions pas que nous ne sommes pas dans une crise sanitaire, mais dans une crise politique. Porter un masque (voir cet article), se faire vacciner avec des ‘vaccins’ d’entreprises mafieuses, souscrire au passe-sanitaire… sont des actes politiques. En acceptant cela, on passe dans le domaine de l’obscurité totale.
Évidemment, la plupart des gens s’accordent très bien d’une dictature. Cela fait des dizaines d’années que de nombreuses entreprises françaises délocalisent dans des pays comme la République populaire de Chine et que les Français vont en vacances dans d’autres comme le Qatar. Comme en architecture (voir mon livre gratuit sur le façadisme), nous sommes dans une démocratie de façade. 'Nos dirigeants' nous préparent le chaos et la guerre, comme nous l'a montré Jacques Attali dans sa décadente exposition de 2015 au Louvre : Une brève histoire de l'avenir, dont l'affiche montrait un monde en feu (voir cet article que j'ai écrit à l'époque).
Pour finir, et aller un peu plus loin dans l’obscurité, il me semble qu’Anne Hidalgo est la nouvelle candidate des mondialistes, qui remplacera Macron. Cela fait des dizaines d’années que l’on nous joue l’alternance, afin de faire croire que la politique change et que l’un vient contrecarrer l’autre. Mais c’est la même chose, le même mouvement : l'horreur en marche !
Que faire ? Se réveiller ! Une fois que l’on est réveillé, les yeux bien ouverts, on sait ce que l’on fait et où l’on va… Si certains sont susceptibles de nous faire du mal, c’est avant tout nos réactions qui peuvent nous en faire davantage. Chacun doit trouver son chemin, et chaque chemin est différent. Cela fait des siècles, voire des millénaires, que l’on sait l’importance de se connaître soi-même (en grec ancien : Γνῶθι σεαυτόν, Gnỗthi seautόn, et en latin : Nosce te ipsum). Ne laissons pas d’autres dire qui nous sommes et nous guider. Bien sûr, nous avons besoin de miroirs extérieurs, mais nos choix sont personnels et doivent rester libres !
Selon moi, d’abord il ne faut rien faire : Ne pas porter le masque médical, ne pas se faire vacciner dans le doute, refuser le passe-sanitaire et même ne pas utiliser de téléphone portable, ne pas écouter les actualités, arrêter de se déplacer frénétiquement mais regarder autour de soi là où nous sommes… même si ce n'est pas obligatoirement beau à voir… En fait il faut se simplifier la vie, s’aider soi-même et aider ceux qui le souhaitent, conserver ce que nous pouvons de notre patrimoine… Nous n’avons pas besoin de moutons, mais de gens libres, conscients. L’éducation devrait nous mener à faire de nous des personnes libres, et même toutes les paroles. C’est comme cela que l’on s’élève, en découvrant chez les autres des choses que l’on ne soupçonnait pas, pour partager aussi. Si tout le monde se ressemble, et cela mondialement, quelle tristesse… quelle folie. Nous n’avons pas besoin d’être gouvernés. Je répète souvent cette merveilleuse phrase de Pierre-Joseph Proudhon (1809 – 1865) : « l’anarchisme c’est l’ordre sans le pouvoir ». On peut changer « l’anarchisme » par « la République ». Nous avons besoin de justice, pas de dominations ; nous avons besoin de ce qui est écrit notamment sur le fronton des écoles : de liberté, égalité et fraternité.
Imposer une même vision pour tout le monde, sur la planète entière, est une folie, du fascisme, cela nous ruine, fait fondre la richesse du monde. Il est 'amusant' de constater que ce sont les mêmes qui, en pure novlangue, prônent soi-disant la diversité et imposent une vision unique et dictatoriale !
Avant de finir cet article, je souhaite à nouveau évoquer la censure sur Internet. C’est un sujet grave dont tous les péquins qui s’expriment sur le Net sont les victimes, car la lisibilité de leur travail est limitée par les algorithmes (voire sans doute aussi des personnes physiques payées pour cela) qui ne servent que les sites appartenant aux GAFAM, ceux qui sont autour et ceux qui paient grassement. S'ajoute une censure pure qui enlève des contenus ou supprime des comptes d’utilisateurs. Il y a aussi le « bannissement dans l’ombre » dont parle Sophie Tissier dans cette vidéo, à partir de 10:00. J’évoque mon expérience personnelle dans cet article, et depuis que je critique la politique autour du covid, le nombre des visiteurs de mon blog a été divisé par quatre, et même en ce mois de juillet certains jours par plus de sept, Google ne le présentant quasiment plus à des personnes ne connaissant pas mon travail, mais pourtant engageant des recherches dans ce sens. La vie est belle (La vita è bella), référence au film sorti en 1997, écrit et réalisé par Roberto Benigni.
Pour conclure cet article, voici une nouvelle citation de Montaigne : « Ce n’est pas à l’aventure sans raison que nous attribuons à simplesse [plus que de la simplicité] et ignorance la facilité de croire et de se laisser persuader : car il me semble avoir appris autrefois que la créance [le fait de croire] était comme une impression qui se faisait en notre âme ; et à mesure qu’elle se trouvait plus molle et de moindre résistance, il était plus aisé à y empreindre [imprimer] quelque chose. » Le caractère obtus de certains, qui plus est submergés par la propagande, le mensonge, la manipulation et la perversité, font que ces gens sont incapables de saisir ce qui se passe, arrêtant de raisonner et affichant une conviction, un avis court et définitif. Ce mélange de bêtise, de mensonge, de vilenie, de crédulité… fait que, derrière leur masque chirurgical, ils sont de véritables chaudières prêtent à exploser. Il faut s’en méfier comme de la peste ! Non seulement cela ne sert à rien de débattre avec eux, mais cela est dangereux. Il est bien plus raisonnable et sain de chercher constamment à s’ouvrir complètement à la vérité et fréquenter des gens raisonnables afin de contribuer au bonheur futur. Ceci dit, j’ai peu de foi en la raison humaine, mais beaucoup en la Raison pure, en elle-même. Comme le philosophe aime la philosophie, j'aime la Raison, la cherche, tout en sachant que bien sûr moi aussi je n'ai qu'une vision parcellaire des choses. Comme le dit Montaigne : « C’est folie de rapporter le vrai et le faux au jugement de notre suffisance. » Le doute nous permet d'avancer. Mais les faits doivent parfois prendre le dessus, comme lorsque l'on constate que l'on nous ment, nous manipule, nous empêche de respirer et supprime toujours plus de nos libertés fondamentales.